« Ça m'a pris quinze putains d'années de me sentir assez courageux pour me lancer !" confesse Joel Wätsberg, le producteur suédois derrière l'excentrique sir Was. « Pour arriver au point où j'ai pu me laisser aller ça a été une longue lutte. Mais dès que j'ai eu moins peur, c'était presque facile. »
Si vous êtes à la recherche de l'histoire derrière sir Was, vous n'avez pas besoin de chercher loin, elle est juste là, dans les premières lignes de "A Minor Life" le titre d'ouverture de son premier EP : "Je suis resté derrière ces murs trop longtemps/A rêver de ce que je n'étais pas". Une confession d'un artiste qui démontre une honnêteté inhabituelle mais gratifiante, et son accompagnement musical qui se distingue par l’utilisation non conventionnels de sons mêlant cornemuses et flutes à becs est tout aussi séduisant. Faisant la démonstration d'un mariage apparemment sans effort d'intenses beats, de mélodies gracieuses et de sons synthétiques, il se révèle maître de l'équilibre.
Certains artistes s'efforcent sans cesse d'essayer de repousser les frontières, sir Was semble les ignorer comme si elles n'avaient jamais existé.
Si vous êtes à la recherche de l'histoire derrière sir Was, vous n'avez pas besoin de chercher loin, elle est juste là, dans les premières lignes de "A Minor Life" le titre d'ouverture de son premier EP : "Je suis resté derrière ces murs trop longtemps/A rêver de ce que je n'étais pas". Une confession d'un artiste qui démontre une honnêteté inhabituelle mais gratifiante, et son accompagnement musical qui se distingue par l’utilisation non conventionnels de sons mêlant cornemuses et flutes à becs est tout aussi séduisant. Faisant la démonstration d'un mariage apparemment sans effort d'intenses beats, de mélodies gracieuses et de sons synthétiques, il se révèle maître de l'équilibre.
Certains artistes s'efforcent sans cesse d'essayer de repousser les frontières, sir Was semble les ignorer comme si elles n'avaient jamais existé.
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